Pétale d'illusion ; épines de la réalité ☼ (Ariel)

par **Ariel Noradox** 19.03.21 13:36

Ariel Céphéus NoradoxIl y a des souvenirs qui ne demandent pas la mémoire, on les porte en soi comme un parfum qui vous colle à la peau, tant les notes de coeur et de fond ont enivré l'âme, d'une empreinte olfactive à jamais... dieu qu'il l'aimé sa douce mlancolie.NOM DE FAMILLE { NORADOX } ⸸
Patronyme éventé ; sublimé par les chants suggesteurs, non loin de la haine de la souillure, fardeau ou douce mélodie d’un hululement blasphémateur, l’identité, à demi-composé, le sang qu’il faut pourtant assumé, et la croix qu’il faut porter pour les péchés commis. Qu’importe les assauts du temps et les grains de sable que chronos égraine avec sa farouche cruauté, c’est un nom, un héritage qu’aujourd’hui l’enfant des ramages doit assumer et porté avec un semblant de dignité, levant la tête quand il ne voudrait que la baisser de honte. Qu’importe la fierté parentale qui embolie leurs psychés étriquées, le garçonnet demeure plaintif du pareil fardeau miroir, façade glorifiée mais les démons s’en vienne la nuit, quand sonne les l’avènement de tous les péchés.

PRÉNOMS{ ARIEL } †
candide douceur entichée d’un prénom voulus féminin par une mère qui aurait tant aimé voir naître l’opposer au bambin divin, et pourtant rien ne change. Mélodieux fragment d’identité, porteur de malheur et pourtant il faut l’apprivoiser dès les premiers jours. Garçon que l’on effémine, psyché d’une matriarche qui refuse de porter son regard sur l’enfant corbeau. { CÉPHÉUS }⸸ Loin de la folie matriarcale, vient le patriarche, abandonnant alors toute note de douceur nymphique, préférant la dureté d’une sonorité qui résonne, et s’amplifie dans le creux du gosier. Duel carnassier entre deux parents s’épanouissant sous les doux rayons multi-colorés de la folie. Il en devient ainsi plus aisément féminin pour le père malsain, et bien plus masculin pour une mère acariâtre qui à sombrer dans le folie des doloris de la guerre.

NAISSANCE { 08/11/1965 : 23H18 } ⸸
Antre familiale déchirée sous les hurlements suavement féminin lâcher à la lune, rien ne s’apaise mais tout se déchire bien plus que les crépuscules qui condamne le bambin à la folie des mains d’une mère qui n’as de bienveillant pas même le toucher, et sous les yeux terrifié et méprisant d’une mère qui découvre qu’il est né garçon et non fille, le petit être voit le jour sous les trait diluvien d’une nuit de novembre quand la neige de son doux manteau pure avait enveloppé les vallées lointaines et le doux jardin de la demeure.

SANG & ORIGINE { SANG-MÊLÉ } ⸸
Le cruor qui s’est dilué, sang pur souillé il y’a cinq génération, quand le premier Sirin perdit le pari de se faire aimer par une moldu, mélodieuse suggestion qui c’est retourner contre le derme, c’est ancré dans la psyché et c’est gravé dans le derme. Rancœur égrainée, et récolté à la moisson, les vague de la colère qui s’écrase avec férocité sur les lignes d’un arbre généalogique méprisé. { ANGLAIS } ⸸ puis que le bambin à vus le jour sur les terre aux cieux d’argent de l’Angleterre, mais le carmin liquéfié dans les veines s’estompe sous les origines de velours d’une mère venus d’ailleurs, et d’un père n’ayant jamais connus les terres des origines qui magnifie son cruor, partage et mélange d’un venin vitale qui anime son être, bambin anglais aux nuance { RUSSE & JAPONAIS } ⸸ nouant à son palais et à sa serpentine trois langues à la maitrise parfaite, sous la colère des deux titans se partageant son frêle corps, poupée à efféminé si la matriarche se perd dans ses folie diluvienne et petit jouet à déchiqueter avec harpie et férocité quand le patriarche se lasse des courbes de la marâtre.

RELATION MATRIMONIALE { MARIÉ } ⸸
Lunaire et aguicheuse ; sous les obligations et promis à elle depuis bien des années par l’astre chaotique et paternel, le bambin est lié par l’anneau à la belle venus venimeuse, rien n’est divin chez elle, tout n’est que pourriture et âme noircie, lui qui ne voit que par les corps de mars, il n’ose pas poser ses orbes sur la doucereuse serpente venus, entravé par des chaines, et l’épée de Damoclès se présente par la loi qui est ainsi faite, à jamais condamné à regarder les courbes masculines sans pouvoir y gouter, prisonnier des bras de la diablesse au regard qui en charme bien plus d’un mais ne se pose que sur lui ; jalouse est la demoiselle qui aimerait empoisonné l’univers pour renaître en Eve et faire de lui son Adam.

OCCUPATION { Danseur exotique } ⸸
→ Corpus Venena ← ; l’enseigne dépeinte en belle dorure de luxe sur le noir ébène d’un bois rustre. Intérieur somptueux, mais où décadence et folie se joignent et s’entremêle, les silhouettes exotiques ondule ; les corps s’effeuillent et le bambin s’écorche les pieds sur des pas de danses suave, enchaîné au sang qui coulent dans ses veine, propriété des parents qui lui ont donner la vie ; et souvient toi fils que si tu es si beau tu me le dois. Alors ainsi il ondule son corps et le met presque à nus pour les orbes envieuse et luxurieuse d’inconnus. Nuit égrainée et parsemé le sommeil manque, et les ailes sont dévoilées, offerte avec perfidie à celui qui paiera le bon prix.

1. Enfant, tu étais plutôt…
[] du genre plein de vitalité à courir partout.
[X] celui qui passait du temps à dessiner, à inventer des histoires.
[] celui qui faisait ce qu’il fallait faire en priorité, le travail avant les loisirs.
[] celui avec la tête souvent dans les nuages, dans son petit monde.

2. Dans ta bande d’amis, tu es…
[X] le joyeux luron, celui qui fait toujours rire la galerie.
[] l'organisation celui qui prend les choses en charge et les décisions finales.
[] l’épaule sur laquelle pleurer, on peut te faire confiance, tu seras toujours là.
[] la voix de la raison, celui qui donne facilement des conseils.

3. Un obstacle se met en travers de ta route, immédiatement tu…
[] fais demi-tour. Tu t’en doutais, c’est toujours comme ça!
[] t’enflammes. Les défis, toi c’est ta deuxième passion.
[] te mets à douter, avant de peser le pour et le contre.
[X] t’éparpilles un peu, tu retournes le problème dans tous les sens.

4. A la lecture du conte des trois frères (ici), tu…
[] réfléchis. Tu cherches un morale tangible à toute cette histoire.
[] t'indentifies. Toi à la place de chacun t'aurais fait autrement!
[X] pleures. C’était super émouvant, fallait que tu craques.
[] t’énerves tout seul. Sérieusement, la faucheuse se prend pour qui?

5. On t'annonce qu'il va y avoir du retard sur ton programme, tu…
[X] t’assois sagement quelque part et sors un bouquin.
[] t'en fiches, attendre fait partie de la vie, t'as de quoi patienter!
[] râles et cherche un coupable à blâmer!
[] en profites pour aller voir un proche et lui faire la conversation.

6. Au premier abord, tu es plutôt…
[] méfiant. Il te faut un certain temps pour apprivoiser les gens, mais ça viendra.
[] souriant. Très extraverti, tu sais te faire des amis, et surtout les garder.
[X] enjoué. Tu aimes les gens, tu n’as aucune difficulté à t’intéresser à eux.
[] froid. Tu préfères te faire une opinion de la personne avant de te montrer agréable.

7. Pendant la guerre tu étais plutôt du genre...
[X] à être l'épaule sur laquelle on vient pleurer.
[] à ne compter que sur toi-même
[] à prendre part à l'action et au diable la prudence.
[] à établir des stratégies.

8. Le programme rêvé pour un jour de week-end…
[] juste moi, dans une bibliothèque. Un thé, un plaid, un bouquin.
[X] une randonnée dans le parc naturel, rien de mieux qu'un peu d'action.
[] rendre visite à mes voisins ou mes proches pour voir si tout va bien.
[] faire les courses, les achats, préparer le reste de la semaine.

Doux
Enfantin
Naïf
Analyste
Réfléchis
Maladroit
Envoutant
Patient

Not a perfect soldier ※ I’m brOKen ※ child destroyed ※ Fallen angel ※ snatch my wings; baby ※ memories deleting ... ※ a hope or a delusion ※ Baby face ※ eternal dreams; dreamer. ※ Corrosive family craziness. ※ F U C K - Y O U daddy ※ love is impossible. ※ Perfect NAOKI ※ Soulmate ; to be enough ※ children's games ※ Finaly ; blue in the body and death in the soul.

※ HYPERSENSIBILITÉ ※

Le myocarde se brise pour tout ; et un rien le fait voler en éclat de verre qui se désagrège un peu plus encore, poussière de verre, mais l’astre lunaire, éclaire toujours, poussière d’étoiles. Les yeux qui admirent et la psyché qui s’égratigne dans le crâne, car tout est trop ; beaucoup trop, qu’un rien blesse et qu’un tout émerveille, et il est ainsi le monde, beau, tout comme lui il l’était ; il l’est … arrachant avec sa mort les barrière de la sensibilité ; mais le voilà revenus à la vie, pourtant le bambin souffre toujours des maux de l’âme, tout s’amplifie, pour mieux se disloquer en un milliers d’éclats, éclats de verre, éclats de rires ; Hypersensibilité dans le fond du cœur, la psyché qui s’en est aller se perdre dans le labyrinthe de l’amour.

※ FILS UNIQUE; ENFANT DETRUIT ※

Saigne, montre-nous ton sang, et ta douceur aussi Ariel, non Céphéus ! Qu’importe tant que le corps se disloque, et qu’il craque sous les coups, la peur au ventre et pourtant il lui demeure siens, le père qui enchaine sa plus belle création ; mère le sauvera ? Non, bambin infâme, où est la fille, la poupée réclamée ; caprices divins. Marâtre qui sublime matifie, soit patiente ! Soit une gentille fille Ariel ! Marqué, fer rouge contre le derme, et plumes si sublimes, une pour maman, une pour papa, jalousie maladive, ramage dévasté, et corps mutilé. « Fuir, pourquoi fuir, tout est sombre dehors mon fils. »

※ TERREUR NOCTURNE ※

« Les monstres ne sont pas sous ton lit petit, observe tu danse pour leurs yeux. » Astre, oh belle lune, qui emporte avec elle les rêves et les cauchemars, oh l’astre qui adoucie les envolées nocturnes des uns, pourquoi tourner ton dos à l’enfant corbeau ? Gémissement nocturne ; viennent les cauchemars aussi sombres que l’ébène, et ce vide, toujours ce vide, petit corps frêle qui tremble, mais il faut les taire ses hurlements pour ne pas éveillé le monstre qui ne dort que d’un œil ; alors l’enfant s’étouffe dans son oreiller, se ramasse en une ruine, pauvre petite chose, blotti contre lui-même sans qu’aucuns bras protecteurs ne le prenne pour le rassurer, Ariel ; Ariel il n’existe pas les monstres ; Réveil toi petit.
SCOLARITÉ & ANCIENNE MAISON { Domicile – Enfant « fragile » } ⸸
Ils le disent fragile ; enfant que l’ont ravage, alors il faut cacher aux yeux de tous, les portes salvatrice, les portes qu’il voulait tant franchir, se sont close à sous ses orbes humides, petites opalines qui déversent les perlent saline ; il ne faut pas pleurer, ne pas saigner le myocarde de la matriarche qui prend les rênes de l’éducations ; brides et mord qui entravent ses mots pour que jamais ne soient divulgué les sévices infligés. Les nuits sont sombres ; journée éducative et scolarisée sur les chaises de la demeure ; nuits courbées sous la voute céleste les petits pas qui enflammes le parquet de l’enseigne familiale ; et tant d’heures à s’écorcher pour qu’enfin les ailes le porte à la perfection, mais les chants suggesteurs ne sont nullement maitrisé. Et sous les orbes jugeurs des parents, l’astre s’évalue de ses acquis par la présence régulière d’un précepteur ; ministère qui ne laisse nul enfant sans un devenir, et c’est ainsi grâce à lui le précepteur qu’il passe ses évaluations ; l’ange gardien, le sauveur de quelques heures.

COMPOSITION DE LA BAGUETTE { Bois – Chêne blanc ; Cœur – Épine du monstre du lac blanc. } ⸸
Elle s’embellie sous la loyauté et le courage que le bambin déferle dans ses veines, et elle se courbe sous la souplesse de ces vingt-six centimètre, peut-être trop petite, mais tant parfaite à ses yeux ; et le cœur qui demeure si mystérieux à lui qui ne connais pas grand-chose sur les monstres, mais l’élégance s’entremêle à la puissance, que pourtant lui ne désire pas ; Ollivander l’ange gardien, celui qui vend la bien aimée ; unique « amie » durant des années avant que lui entre dans sa vie.

PATRONUS { Aucun } ⸸
Demandeur ; pourtant ont lui refuse, le père qui ne sais pas comment et la mère qui se délecte du rôle de protectrice malsaine, alors il demeure dans l’ignorance. Candeur pure à protéger, venin de l’éducation qui martèle la psyché, et il demande, parfois au détour d’une conversation ; priant pour qu’enfin soit accepter le souhait qui reste vain, hors d’atteinte pour lui qui sacrifierait tout pour apprendre encore un peu plus.

EPOUVANTARD { L’envol de l’ange } ⸸
Il tend la main et implore à l’aide ; Naoki, le corps ensanglanté et les larmes qui perlent. Et lui il se fige, incapable de bouger, la peur au ventre, la peur de n’avoir jamais sus le protéger, de ne pas avoir sus être assez puissant pour lui épargner la mort ; tout simplement de ne pas avoir était assez rapide pour mourir à sa place.

AMORTENTIA { Amour olfactif } ⸸
L’amour en filtre, le siens prend ses senteurs dont il rêve en secret, (le goût de ses lèvres & l’odeur de sa peau), car il se pourrait qu’il soit le seul qu’il puisse aimer, mais aussi les effluves des (vieux livre) qui le ramènes à de doux souvenir, ses orbes rivés sur leurs lectures entrecroisées, et des senteurs d’automne grisé sous (l’orage) qui fascine par sa puissance naturel, qui fait battre le cœur aussi fort qu’un tambour, et quand viens s’y ajouter au grès du temps la senteur délicate de la (pomme fraichement coupée) c’est paracerque la grand corbeau de l’être aimer l’appel à son souvenir pour exister encore un peu, pour qu’il n’oublie jamais qu’il était lié à l’être que lui à tant aimé également.

PARTICULARITÉ MAGIQUE { SIRIN } ⸸
Alors que tout les enfants s’écorches les genoux à trop vouloir courir, à vouloir aller toujours plus vite, lui ce les écorche à vouloir voler, car sous la jalousie maladive du père au gènes qui sublime le siens, l’enfant doit apprendre à déployer ses grandes ailes noires pour avoir le doux espoir d’un jour s’envoler loin de clôture d’une demeure familiale et ancestral. L’hérédité se tire et se peint de génération en génération, s’affinant sous les traits de la branche paternel, ainsi le bambin tiens de lui, le père, cette douce particularité à ses gênes.LA GUERRE NOUS A TOUS FRAPPÉS. AVEZ-VOUS PRIS PART AUX AFFRONTEMENTS ? SI OUI, PRÉCISEZ VOTRE ANCIEN CAMP, SINON, COMMENT CETTE PÉRIODE VOUS A-T-ELLE IMPACTÉ? La guerre ; amer souvenir qui se percute à la psyché, quand lui le bambin forcé par les chaines de sa famille, par leur étroitesse d’esprit, à rejoindre les rangs des Mangemorts. La guerre, lui qui d’ordinaire l’aurait fui au plus vite pour attraper sa main et s’envoler loin, le plus loin possible, mais si le père n’était pas bon suggesteur, lui sans le vouloir maitriser un minimum cet art, ainsi le bambin sous la contrainte corrosive d’un père prête allégeance à une cause qu’il ne comprend pas. Cette fichue guerre qui lui aura tout pris, le bambin la maudit, l’abjecte guerre ; et ainsi tourne en boucle dans la psyché écorchée vive « plus jamais ; plus jamais ; plus jamais. »

LA GUERRE TERMINÉE, DE NOUVELLES LOIS ONT FAIT LEUR APPARITION. VOUS QUELLE EST VOTRE OPINION SUR LA POLITIQUE DU MARIAGE OBLIGATOIRE À VINGT CINQ ANS, L'INTERDICTION DES CONTRACEPTIONS & L'INTERDICTION D'ÉVOQUER PUBLIQUEMENT LE PASSÉ OU LA NATURE DU SANG ? Bel oiseau à qui on ne demande pas son avis, Ariel ; l’enfant à qui ont interdit d’avoir une opinion sur les lois, pourtant il en a, mais secrètement, car pour lui le mariage est corrosif et amer, doit-on se marier pour aimer et enfanter ? Il ne le pense pas un seul instant, lui qui ne voit que par les courbes masculines. La contraception n’est pas ses affaires, en revanche il prend, pansement à son cœur, l’interdit d’évoquer le passé comme une bénédiction, la nature de son sang, il n’en a que faire contrairement à ses parents qui hurle à l’outrage ! Mariage ; contraception ; nature du sang ; il haussera les épaules et restera muet sur son avis. Interdiction d’évoquer le passé ; interdiction d’évoquer sa « mort » alors ? Mais puisqu’il ne l’est pas, qu’il se tient droit devant lui des heures durant qu’il lui accorde et que lui prend silencieusement, alors oui ils le peuvent, interdire d’évoquer le passé.

VOUS AVEZ DONNÉ VOTRE AVIS, QUE COMPTEZ-VOUS FAIRE? « Survivre… » n’est-ce pas là, l’unique chose qui s’impose ? Ariel à plier face au décret, épousant celle que ses parents lui ont choisi, car dans la grande famille c’est ainsi, il à plié une nouvelle fois n’évoquant ni passé, ni présent, ni futur, il à plié encore sans difficulté aucune n’évoquant jamais la nature de son sang. Il se plie, se tord pour se soumettre à la loi, mais un brin d’on ne sais quoi demeure en lui ; car le roseau plie mais ne se rompt pas ; et qu’il demeure dans le fond de l’âme enfouie quelque part très profondément en lui, un vent de mélancolie qui s’abreuve d’une tempête de révolution, mais sourit petit Ariel, ne fait pas de vague.

PSEUDO Nephy ÂGE Je sais plus. FACECLAIM Park Jimin OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? Solas xD j'ai craqué <3
EN CAS DE DÉPART MON PERSO PEUT :
[] être pnjisé [] être scénarisé [X] mourir.
QUELS SONT MES TW ?
Je peux tout lire ; je n'ai aucun problèmes avec cela, après tout est dans l'art de le faire je dirais, ou d'ammener la chose. ARIEL CÉPHÉUS NORADOX

par **Ariel Noradox** 19.03.21 13:36

Ariel Noradox

08/11/1965 Venu au monde sous la froideur mordante, il était là lui que l’on n’attendait pas ainsi, enfin tant attendus, et le visage qui se déforme de la mère insatisfaite la voilà fardait d’un fils, pourtant elle avait rêvé des mois durant serrer une petite fille dans ses bras. Février 1972 (6 ans et 3 mois) « Mais tu vas les sortir oui !! » hurlement qui déchirent les cieux alors que pourtant sous l’angoisse et la poigne qui saisie le petit haut, le petit garçon terrifié ferme les yeux, la peur au ventre qui broies les entrailles et les voilà enfin les doucereuse ailes qui arrive dans une hurlement de douleur de l’enfant, le noir plumages qui drape soigneusement le dos, et le père qui relâche son enfant, abasourdie par tant de beauté, mais elle vient bien trop rapidement, la jalousie qui déforme les trait paternel. Avril 1972 (6 ans et 5 mois) Le myocarde se déchire et se fissure quand les orbes ne se posent plus que sur le néant et l’obscurité de la pièce, et pour la première fois le monstre frappe aux claires de la lune. Les orbes qui se ferment cachés sous les paupières closent, et il camouffle son existence même pour qu’il ne soit pas la père, mais un inconnus pour continuer à l’aimer malgré tout. Janvier 1973 (7 ans) Elles sont sublimes, et pour l’entraîner il faut qu’ils s’en servent, alors que l’enseigne commence à faire faillite, il faut donner au client de quoi se satisfaire, alors petit garçonnet un brin timide, drapé d’une tenue doucereusement satinée, découvre pour la première fois les planches noirâtres de la scène, et ouvre ses ailes pour des regards avide ; l’enseigne familiale refleuri. Décembre 1975 (10 ans) Il était entrain de vaquer à ses occupation, papillonnant timidement ici et là, mais qu’il était sublime sous sa maladresse et ses longs cheveux d’ébène ; lumière qui attira à lui le papillon de la nuit éblouit. Novembre 1976 (11 ans) Elle aurait été divine, elle était libératrice et rêve doux de paysage d’ailleurs, malheureusement l’enfant à la santé dite fragile, mais le mensonge dupe et la lettre si attendue que le garçon aurait aimé choyer ne viendra malheureusement jamais, emportant avec son absence l’espoir de pouvoir un jour échapper à tout ce qui est sa vie aujourd’hui puisque la vie lui a pris sa raison de vivre. Novembre 1978 (13 ans) C’est l’une des premières fois que le bambin sourit, anniversaire doucereux alors qu’il est là, l’ami-amour, présent dans la demeure, unique invité, et pourtant c’est si doux qu’il soit là même si l’amitié n’est plus depuis quelques années, et que l’amour c’est immiscé dans les veines, amour pure, et la guerre n’est plus, alors pour une première fois, le sourire s’orne sur les lèvres même s’il n’y a ni pâtisserie ni bougie, il est présent lui. Juillet 1983 (17 ans) Les années égrainé dans le sablier de chronos et l’amour se parfaire, et s’adoucie sur une promesse en temps de guerre. « On s’embrassera quand on sera enfin libre, je te le promets Naoki. Tu sais, je t’aime d’une façon bien plus pure que la lumière d’une étoile qui rayonne. » Novembre1983 (18 ans) Ils voulaient les rendre fier, ainsi peut-être arrêterait-ils leur sévices ? Les pas foules et s’emboite dans ceux de ses parents, rejoignant de forces et pourtant un peu de gré aussi les rangs des Mangemorts. Mars 1985 (19 ans) Ils s’étaient décidés à finalement fuir la guerre, reniant tout autour d’eux pour n’être qu’eux, et ils c’étaient promis de s’aimer de s’embrasser pour la première fois, et ce soir, alors que les années se sont éloigné tel les vagues et l’écume, la fuite est douloureuse et mortel, car lui l’amour de sa vie y perdra la vie. Mai 1990 (24 ans) Mariage arrangé, mais il ne faut point lui à en vouloir, elle à qui l'ont à promis de diluvienne nuit drapé de ses ailes que pourtant encore jamais il ne lui a montré.

▷ L'enfance se déssine.
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« SEEDS SOWN IN CHILDHOOD DEVELOP DEEP ROOTS. »

Les sévices ; la liberté n’existe que très peu, il ne voit du monde que ce qu’il faut en voir au yeux d’une mère qui le garde tel une poupée à ses côtés, quelque pas foulent l’allée de embrumes, et parfois un peu le chemin de traverse carcasse d’un enfant que l’on ne sort que trop rarement, et bien souvent il leur échappe, cours au travers de la boutique Borgin quand le père s’y rends, mais qu’il était si jeune, et si naïf, le regard qui se fait curieux face à tant d’artefact qu’on lui sermonne de ne surtout pas toucher ; les rêves s’envolent souvent au grès de bois qui entoure la demeure isolée à Fawley Bottom les parchemins se griffonne au grès des créatures et animaux rencontré dans les bois. Haut comme trois pommes et les opalines de jais qui s’émerveille déjà sous la beauté d’un monde qui entoure sa petite carcasse, alors que les ailes déchiquettent de dos pour la première fois dans un cris de douleur ; le fils est un Sirin tout comme le père, mais les ailes si doucereusement ébène et corbeau sont jalousais quand le père se pare d’ailes au typage de colibri dont les couleurs lui irritent les iris. Les premières années de la vie s’égraines sous la folie des parents, et lui demeure l’enfant voulant les rendre heureux, désirant attirer leurs fierté, pourtant la psyché hurle à l’aide et le rêve d’un jour s’envoler pour Poudlard où toutes autres écoles chatouille et flatte la tête d’un garçonnet dont les pas résonnent toujours aux côtés de ses parents, mais qui est loin le chemin de traverse ; l’allée des embrumes est devenue le principale lieux visité, parfois les alentour de Londres émerveille furtivement les opales, mais jamais bien longtemps. (1976) il attendait, des papillons plein le ventre que viennent sa lettre, celle que tout enfants sorciers reçois, mais elle n’est jamais venue ; mais lui a foulé les pas de la demeure ; le précepteur. Santé prétexter fragile par une mère qui n’as nullement envie que sa poupée s’envole loin de ses bras aimants, et un père bien trop prudent qui parfaire déjà ses plans les plus sombres, alors il faut garder le secret sur ses gênes de Sirin au garçonnet, car il faut parfaire son entraînement pour qu’il soit la clé pour la rédemption de leur sang impurifié. Enfant au suggestions doucereuse qui se réalise parfois, alors que le père se voit presque maudit alors que presque toutes les siennes se retournent contre lui. Fallait-il aussi qu’il leur rapporte les galions alors on le pavane la nuit, chorégraphie qu’on lui impose, ondoiement de bassins et on bride sa psyché, on le rend objet, on le dresse ; ainsi sous les coups VIP il se décharne de toutes rebellions dont il serait déjà bien incapable tant il cherche à leur plaire à père et mère. Le précepteur envoyé par le ministre ; l’espoir particulier que par moment, au détour de quelques heures il puisse vivre ; une bouffé d’oxygène, un renouveau qui lui empourpre sur les joues, et les orbes deviennent éclats d’étoiles.

▷ NAOKI.
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« Le véritable amour est une étoile dont le rayon révèle
à l’âme humaine toutes les choses belles de l’existence. »

Il était entrain de vaquer à ses occupation, papillonnant timidement ici et là, mais qu’il était sublime sous sa maladresse et ses longs cheveux d’ébène ; lumière qui attira à lui le papillon de la nuit éblouit. Naoki fût son tout, aussi précieux de la petite rose dans le fond du jardin de ronces, c’elle qu’on n’ose tout juste effleurer, tant la beauté semble si fragile, lui Ariel, enfant que tout émerveille, il n’osa pas le toucher, l’un et l’autre sous une passion qui dépassait le charnelle, ils étaient, ce que les astres avaient fait de plus beau, s’offrant dans la candeur des lectures d’Ariel, s’ouvrant aux monde de milles merveille qu’imaginer Naoki, et surtout s’endormant sous les étoiles qui les couvraient d’une fine poussière d’or pour que s’endorment les bambins idéaux, ceux qui devaient s’appartenir sans se toucher, car c’est ainsi qu’ils étaient beaux, c’est ainsi que tout était. Les années égrainé dans le sablier de chronos et l’amour se parfaire, et s’adoucie sur une promesse en temps de guerre. « On s’embrassera quand on sera enfin libre, je te le promets Naoki. Tu sais, je t’aime d’une façon bien plus pure que la lumière d’une étoile qui rayonne. ». Mais malheureusement les tambours de guerre on raisonné dans les plaines, inondant la vallée sous les orbes terrifiés de l’âme sœur, et peut-être fût-elles la premières fois qu’elles se frôlaient enfin, leur lèvres, baiser qu’Ariel aurait aimer aussi magique que celui des princes charmant, mais non Naoki ne c’était pas simplement endormie, les paupières ouvertes le souffle repris par la faucheuse, il était partie, et leurs front se touchèrent, Ariel déposant le siens tel une prière, un vœux silencieux, contre celui de l’homme qu’il aimait tant, cajolant de ses mains les douces joues porcelaine, déchiré par la mort, et emporter par l’amour. Premier baiser sous la teneur de la promesse, car la mort est une forme de liberté. « Naoki je t’en prie survie, reviens moi par tous les moyens, reviens moi. » ; mais qui est-il lui qui est l’être aimé, mais ne l’est plus vraiment, celui qui se présente à l’égale de l’amour qui papillonne et résonne dans le fond du myocarde « Solas » miroir qui reflète les trait de celui qui est encore tant aimé, pourtant il ne l’encombre pas de son amour, le laissant ainsi car Naoki est devenue Solas, et qu’un jour peut-être ce souviendra-t-il de lui, et si cela n’arrive pas, il prendra les miettes qu’il lui donnera sans jamais lui faire l’audace de réclamer plus ; puisque le plus beau serais de simplement « lui suffire. »

▷ graines de la guerre.
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« IN LOVE AS IN WAR, THERE IS NO VICTORY WITHOUT DAMAGE. »

Il faut les rendre fier, encore un peu s’oublier pour que naisse la fierté, ainsi jeune homme de ce monde et de tout les autres, dix-huit ans enfin ; il est emmené pour prêter serment au Lord, sous les regards noirs et pourtant jugeurs de ses parents, tout se délit et noues à la fois. « Bébé Lestrange, endurci le petit nouveau. » Prestige qui envoute sans aucun charme pourtant les parents. Mais elle ne demeure pas la seule ; puisque vient l’entraineur, un Mangemorts qui à embrasser la cause depuis biens des années. L’homme demeure strict sévère, et il attend beaucoup de résultat du jeune Sirin, pourtant il garde un œil, farouche et sauvage, mainte fois il le ramasse en miette sous les déluges diluviens de ses parents, mais petit homme est bien trop précieux, non pas que l’enveloppe charnel du gamin l’intéresse, mais sa particularité est un bijou qu’il faut sauver. Trouble et dualité dans la psyché, est-il l’entraineur ou la figure paternel bien moins dévastatrice que son propre père ?

« Lyssa pourquoi tu ne me fais pas un joli sourire ? » fausse moue boudeuse et pourtant il essaye, il le désire réellement, ce doux sourire, il s’amourache d’amitié, et sous des taquineries à la voix enjoué, il essaye non pas de la changer, car il à toujours respecter les personnes dans leur entièreté, mais il s’amuse à se dire qu’un jour elle lui offrira un doux sourire. Le sablier égrainé par Chronos, et il fini par l’avoir le léger sourire très furtif et si cela n’a durer que quelque seconde, il était l’un des plus beau du monde. Elle, si belle ; c’elle qui à ces débuts donner ordres de missions et en vérifier les accomplissements ; qu’elle était douce et sublime avec ce sourire.

Les atrocités ; voilà tout ce que la guerre laisse sur son passage, Ariel, homme trop sensible, trop angelot, et pourtant il doit tous les rendre fier, le père, la mère, et l’entraineur. Combien de vie à t-il prit ? Combien de personne torturée, combien de personne poussée au suicide sous sa douce voix qui suggère ? La psyché s’effeuille peu à peu pourtant le sourire se placarde en façade. Solitude ; parfois isolé, un peu à l’abris, il s’effrite en larmes incendiaire sur ses pommettes ; mais se sont ses bras qui le solidifie, sa voix qui le porte doucement et il s’endort tête posée sur ses genoux un nombre indéfinissable de fois, ô bel ange, beau Naoki. (Mars 85) L’ange à pris la poudre d’escampette pour s’envoler au paradis ; Naoki est mort, la guerre le lui à pris, et Ariel, il rouvre toutes les faillent, les craquelures, le myocarde qui pulse qui se brise, et qui saigne. Ses orbes de jais se sont posés sur elle ; avouant à demi-mot qu’une personne qu’il aime est partie, et qu’il n’existe aucuns mirages suffisamment doux pour lui recoller les morceaux du myocarde brisé. Il parfaire l’art du duel à ses côtés, encore ; encore ; encore les genoux martèlent le sol dans un hurlement de déchirure ; sous ses orbes, il s’effrite la sueur sur le front alors que le duel prend fin. (Mars 86) Il avait son rituel pour décompresser discrètement, noircissant les parchemins des croquis d’animaux ou de créature fantastique dans les bois, s’isoler pour penser furtivement à Naoki, s’isoler pour ne plus penser aux valeurs qui se sont envolées, au meurtre, au hurlement, aux cris, aux os qui se brises, et progressivement son sourire c’est fané, ses craquelures sont devenues visible, et les faille du myocarde se sont ouverte. Trois années et la vision du monde c’est fané, calciner, il le voyait pourtant d’une façon bien unique, mais les douces visions se sont évaporées et les couleurs de la vie ont disparues. Ariel ; jeune homme qui ne s’ouvre plus, garde et tais ses souffrances, il s’est approché, solitaire d’elle, et ses orbes se sont planté dans les sienne. « Ly’ comment ont fait pour oublier que la douleur nous tue à petit feu ? Comment on fait pour se sentir mieux ? Ça fait un an Ly’ et c’est toujours atroce, et tous ses gens qu’on tue ou qu’on mutile, pourquoi on le fait déjà ? Je me sens tellement incomplet. » Qu’elle était maladroite et étrange la façon qu’elle à eu de le réconforter, pourtant lui, ça lui à réchauffer un peu le cœur.

La solitude ; encore ; quand décembre drape le monde de son doux manteau blanc, elle ; elle est partie. Il en comprend les moindres coutures de son départ, et pourtant le myocarde se meurt à la nuit tombée, quand la psyché ne peut plus être contrôlée ; il hurle, hurle leurs noms aux détours de réveils brutaux et infâme ! Naoki Naoki Lyssa Lyssa sont hurler les prénoms. Et si les nuit sont porteuse des milles tourments de leurs départs, l’un mort, l’autre si loin de lui, les jours ne sont guère mieux. Le sourire est désormais fané ; les ordres sont exécutés à la perfection, et les sentiments n’y sont plus ; coquille vide, parfait petit Mangemort ; après-tout n’est-ce pas ce qu’on attendait de lui ? Ainsi le voilà devenue l’ombre ; la silhouette charnelle mais il ne demeure plus rien d’Ariel, ni valeurs qui se sont fracassé en vague sur la psyché, ni sentiments qui se sont gelé à pas feutrer sur le myocarde de glace, et le sourire, ce si beau sourire tant aimé par la mère, à disparue sous les traits de la guerre ; et tout ceci l’avait-il choisi initialement ? Non ; ont le lui avait imposé, et pour qu’il soit fiers de lui ; il s’était plié, ne pensant jamais qu’un jour le roseau sous la tempête finirait par se rompre. Et l’exutoire si doucereux, la plume qui auparavant dessiner et esquisser animaux et créatures sur les parchemins a cessé ; c’est dans les duels d’entrainement à répétitions qu’il trouve désormais le moyens d’hurler sa détresse, devenue parfait duelliste.

▷ SOLAS.
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« Great achievements have often come about through
great sacrifices, and this is never the result of selfishness. »

Elle était doucereuse et venimeuse à la fois la douceur hivernale de janvier ; an 1989 mais lui n’avait de vestige de la fin de la guerre que le myocarde lancinant et déchiqueté alors qu’il ondoie sous les regard vitreux des clients affamé de chair et de luxure, et ses opaline se jais se sont jeté sur la salle pour la dernière fois, alors que le vent s’engouffre dans les rues, l’astre se dénoue des chimère et des louange de la paix ; quel prix lui aura couter cette guerre, de tout les infâmes coût, lui paya celui du plus grand amour de sa vie. L’âme morose alors que quatre longues années se sont dispersées dans le sablier démoniaque de Chronos. « Ariel, ton sourire était fané ce soir ! Fils encore une seule fois comme ceci et je te promets que je t’arrache les ailes fils indigne ! Dégage tu me dégoute ! » ils claquent et résonne les mots vénéneux de la vipère, et ses talons claque les pavées. La main s’enfouie dans la poche, ressortant la délivrance en fiole, le liquide ennemis au cruor de ses veines. Les fesses qui touchent le sol et les orbes qui se perde sur le liquide de la potion mortel, juste une petite gorgée et il pourra à son tour être libre. La psyché déraille légèrement alors que l’ange au ramage noir retire le petit bouchon de liège, sortant une pomme fraichement cueillie du matin pour la poser à côté de lui, ainsi qu’un livre qui lui est si précieux. « J’arrive, j’espère que je vais vous retrouver. » Ariel c’est la toute première fois qu’il tend la main à la mort, sentant le doux parfum de la cavalière spectral qui s’approche à mesure que la fiole se rapproche de ses douces lippes sucrées. Il est arrivé de nulle part, déployant ses ailes noires, voleur de l’âme et de la mort, dérobant pomme et fiole, lui ce grand corbeau sur qui se pose les opalines d’ébène du jeune angelot au bord de l’acte de détresse ; Lestat ainsi rebaptisé bien qu’il ne l’ait pas connu sous ce nom, pourtant c’est bien lui, familier de l’homme de sa vie, arraché sur le champ de bataille, mais la mort aurait dû emporter le grand corbeau en même temps qu’elle dérobée l’âme du bien aimé. Naoki ô doux Naoki est-tu en vie ? Il ne fallut pas perdre de temps, et courir, courir à en perdre son souffle, pour ne jamais le perdre de vue, courir vers l’espoir de le revoir debout et vivant, courir bien que les poumon brûle sous les foulées qui martèle les pavés, et les yeux rivé sur le plumage du grand corbeau, et quand enfin se pose l’animal, ses orbes reluise et son myocarde se recolle, il n’ose pourtant faire le premier pas, alors que doucereuse sa main se pose sur son haut pour le froissé tant il à l’impression que la valse pulsante de son cœur vas lui arraché son dernier soupire, le souffle chaud qui percute le froid de ce mois de janvier, en cette nuit, et alors qu’il le voit se tourner, il le reconnais et son petit grain de beauté, si discret, Noaki ô doux Naoki enfin le voilà retrouvé. Ariel se jette à son cou, enfouissant son vissage contre son torse. « Naoki, Naoki tu m’es revenus, tu as réussi. » mais la réponse n’est pas c’elle attendu, alors que résonne simplement les mots contre la nuit. « Il y’a erreur sur la personne. » et que se décompose le visage du doux angelot, ainsi alors il ne le reconnait pas, et Ariel se détache de lui, les orbes tant humidifiés de larmes qui n’auront eux que le temps de naître à ses yeux sans jamais couler. Et dans un désir de l’aimer avec pureté, s’il ne se souvient pas de lui, alors il lui faudra le reconquérir, mais garder le passé secret jusqu’à ce que lui revienne la mémoire ; « Pardon, vous lui ressemblé tellement. » et ne rien dire de plus, simplement déposer sur lui le plus doux des regards, le plus tendre des sourire s’ornant sur les lèvres, et la voix doucereuse pour se faire pardonner. Solas ; voilà que le prénom roule et ronronne entres les lippes du bambin, mais puissent-il un jour simplement lui suffire ; car il n’a nul l’audace de vouloir le changer, ni même l’accablé de milles souvenirs doucereux à sa psyché, il ne veut que lui suffire, simplement un tout petit peu.

▷ Les affres du monde.
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« À un moment de la vie, la beauté du monde devient suffisante.
Vous n'avez pas besoin de photographier, de peindre ou même de vous en souvenir. »

(1988) La guerre à prit fin ; mais l’enfant poupée, l’ange fuit l’étreinte dans un cris de colère envers la mère qui se décompose face à l’ire venimeuse. Détour d’un sommeil la baguette tendu « oubliette » et la mémoire se morcelle, s’en est fini des méfaits, de l’entraineur à l’air paternel, de l’éternel prestige Lestrange et des actes qui ont assombris l’âme et déchiqueter le myocarde du fils. Tout s’efface et se désagrège pour n’être qu’un lointain échos. Les souvenirs s’incendient et les cendres s’éparpille dans la psyché, mais demeure l’amer mort de l’être aimer ; pour que les bras doucereux et abjectement infâme de la mère puisse cajolais la poupée ; « chut ma chérie, maman est là, c’est fini la mort est terrible, mais tout passera avec le temps. » unique souvenir pour que demeure le besoin vital de se blottir contre le corps maternel.

Les souvenirs se sont tus assassiné par le sort maternel ; et l’angelot est revenue, le sourire se peint de nouveau sans être qu’une simple façade. Les pas foules à nouveau la scène, hanches qui se courbes pour les orbes vitreuse et lubrique ; l’allée des embrumes est de nouveau côtoyée, et parfois les bois, les arbres et les senteurs d’une nature retrouver, les duels n’existes plus et les croquis sont repris, les parchemins s’assombrisse sous l’ancre et les plumes. Le fils à grandit et les libertés s’offrent parfois bien que toujours étroitement surveiller. Ariel sort, Ariel à grandit ; mais les sévices sont toujours si douloureux et présents, pourtant ses pas s’échappent sur Londres tout entier, timide et discret, il demeure respectueux et distant, mais toujours dans le désirs d’aider, au détours des pavé du monde qu’on lui autorise à foulée, il tend sa mains pour adoucir les âmes noircies, morceler, un doux sourire, une voix fine et mélodieuse, et l’air tant angélique comme armes pour soigner, pour guérir le monde qui c’est assombrit sous les affres de la guerre passé. Bien que jamais le métier ne change, il donne sans attendre le moindre gallion en échange des croquis de paysage merveilleux aux enfants que la guerre à rendus orphelins ; le cœur qui bat trop fort, sous une neutralité forcée par l’oublis, il se rend curieux des mouvements qui se dresses, et bien que jamais ses ailes ne le portent à rejoindre le moindre camp, il chercher à comprendre leurs buts et leurs agissements. Ariel homme-ange, jeunesse d’un monde assombris et pourtant il chercher à l’illuminer de sa douceur de sa seule arme, de cette unique flèche à son arc ; la positivité absolue.

Décors exquis ; oiseau chantant et idylle qu’on impose, (mai 1990) l’anneau parfaire la peau, et le mariage est scellé ; femmes à son bras et chant envolé au cieux, liés pour l’éternité l’un à l’autre. La peur ; car elle jalouse, elle l’étouffe de sa présence incessante, lui l’enfants des liberté brisés et rarifié encore un peu plus. Orbes de jais qui se pose dans les siennes si féminine et qui ne reflète que les angoisses sournoises et sombres d’une guerre dont elle se souvient mais non lui. La fuir ; un passe-temps inquiétant, parfois il y parvient, mais bien souvent non. Consumé lui est impossible ; lui qui est offert à d’autre sous le travail qu’inflige les parents, mais dans les draps de satin d’un lit que l’ont dit conjugale, il n’a jamais effleuré sa peau satinée. Heritié absent, peut-être ne sera-t-il jamais conçu ; l’amour es absent pour lui qui s’accroche à un autre, mais pour elle il est l’univers ; ainsi devient-elle démon quand elle le trouve à ses côtés et la haine dans le myocarde elle hais sans détour celui qui est l’espoir et la lumière de son époux, douce colombe se peint des sombres traits de la haine envers lui Solas.

ARIEL CÉPHÉUS NORADOX

par **Ariel Noradox** 19.03.21 13:37

MINISTRY OF MAGICorganisation des archives.JE ME FAIS RéPERTORIER

L'AVATAR :

Code:: Park Jimin [b]=[/b] @"Ariel Noradox"

LE LIEU DE VIE :

Angleterre, Fawley Bottom, manoire

mode d'emploi:

Code:: [b]=[/b] Fawley Bottom, Manoir Noradox 🡪 @"Ariel Noradox"

LE MÉTIER :

Danseur exotique ; Corpus Venena ; Allée des embrumes

mode d'emploi:

Code:: [b]❯❯[/b] Danseur éxotique : @"Ariel Noradox"

L'ANNÉE DE NAISSANCE ET LES PROMOS :

Code:: [b]=[/b] @"Ariel Noradox", né-e le [u]08.11.1965[/u] + études à domicile

LES FAMILLES :

Noradox ; branche principale

Code:: @"Ariel Noradox", [i](25 ans)[/i]

LA PARTICULARITÉ :

SIRIN

mode d'emploi:

Code:: [b]=[/b] @"Ariel Noradox"[/url] ➜ [i]Grande ailes noires de type corbeau.[/i]

L'ALLÉGEANCE ACTUELLE :

CAMP (~~FREEZARD/AD VERITAS/PRO-GOUV~~/NEUTRE) -rayer les mentions inutiles-

mode d'emploi:

pour les pro-gouvernement :

Code:: @"PRENOM NOM" 🡪 emploi actuel

pour les freezards et ad veritas :

Code:: RÔLE : 🡪 @"Prénom Nom"

LES ANCIENNES ALLÉGEANCES :

CAMP (~~NEUTRE~~/MANGEMORT/~~ORDRE~~) -rayer les mentions inutiles-

mode d'emploi:

pour les mangemorts marqués :

Code:: @"Ariel Noradox" 🡪 seconde guerre (état de la marque : brûlée)

par Invité 19.03.21 13:48

:heyy: :heyy: :heyy: :heyy: :heyy: :heyy: :heyy: :heyy: :heyy:

YES

(je vais me calmer puis je reviens complimenter la beauté de tes plumes tout de suite après)

par Invité 19.03.21 15:24

Ariel Ariel.
Quel enfant.

Viens donc me tourmenter. What a Face

(mais pas trop sinon je deviens pas super gentil *tousse*)

(en vrai ?? IDSLIJDFLIGLFDIJGLDJGFDJGODFGD trop de happiness en moi, je suis so so so happy que tu sois là !! sjglfdjgd on va encore faire des dingueries. Suis-je extatique. oui. Suis-je pressé? oui. Suis-je impatient de lire ta fiche ? O U I. Est ce que je te ship déja gratuitement avec Nikita? oui.

TOI : "OUAIIIIS LES FORUMS CA ME MANQUE mais je sais pas si je..."
MOI : "blblbl, je comptais faire un scenar..."
TOI : cliquer sur s'inscrire.

What a Face